A fil des ans et des compétitions internationales (tour, JO, ...) On nous ressort le serpent de mer de la lutte anti dopage.
Si le cyclisme est en, permanence dans la tourmente, l’athlétisme défraye régulièrement les chroniques.
Au delà des contrôles, le simple bon sens permet de voir que certaines musculatures de sprinters ou que les vitesses atteintes tant à pied qu’à vélo sont « hors normes »
On connaît les atouts des hormones de croissances et on peut même en voir les résultats sur le physique mais on ne « sait pas » la détecter officiellement.
Ton titre résume parfaitement la situation : Le sport est devenu un métier (du spectacle ?) et les organisateurs des hommes d’affaires (cyniques ?). Le public en assistant aux retransmissions ou en se rendant dans les stades se rend complice de performances qu’il sait souvent peu crédibles.
Mais enfin, qui a envie de voir le 100 m se courir en plus de 10 secondes ou des moyennes horaires cyclistes de 30 Km/h ?
Le sport a besoin de spectateurs de fans et de supporters. Tant que ceux-ci ne déserteront pas les épreuves, le serpent de mer a encore de beaux jours
Amicalement
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