Le problème est multiple et la solution n’est pas seulement dans des arguments vrais mais qui ne passent pas face au discours rodé des politiques qui ont l’habitude de la communication publicitaire.
Que faire face au discours simpliste employé par les politiques impliquant qu’il n’y a pas de risques à l’empiètement de la vie privée pour les besoins de la protection. Le discours employé par les politiques s’attache à parler de protection plutôt que de surveillance.
Prenons un exemple simple. Il faut protéger les parlementaires contre les risques de rumeurs que causent les différentes affaires politico financières. Pourquoi ne pas placer les parlementaires et ministres sous vidéo surveillances alors. Non pas qu’ils aient quelque chose à cacher car comme pour la vidéo surveillance peu nombreux sont les citoyens qui ont des « raisons valables » de craindre cette protection. Il n’est pas question de sacrifié la vie privée comme le faisaient les régimes de l’est en leur temps à la surveillance mais à la protection des personnes. Publicitairement cela à tendance à mieux passer.
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