Plus généralement, cette affaire, comme tant d’autres, devrait inciter à bannir une fois pour toutes les stock-options, sujets à tous les tripatouillages possibles et imaginables (aux USA le tiers des grandes firmes au moins ont eu recours à des S.O. aux dates arrangées après coup - Steve Jobs entre autres en a largement profité, lui qui est, nous le savons, dans le besoin...) ; l’équivalent d’un ticket de loterie dont on choisit le numéro APRES le tirage. Avec les salaires mirabolants qu’ils ont, les dirigeants n’ont pas besoin de ce droit de pillage légal (ajouté aux golden-machins) qui de plus les incite à se soucier de la seule valeur boursière.
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