Veuillez me pardonner de me répéter.J’ai toujours différencié mon élève atteint de psychose infantile des trois autres enfants souffrant de troubles autistiques. J’ai d’ailleurs beaucoup mieux communiqué avec celui-là. J’ai étudié la psychiatrie pendant des années. J’ai essayé d’enseigner en classe spécialisée, ce qui m’a permis de reconnaître objectivement que je n’étais pas assez forte pour assumer UN ENSEIGNEMENT DE QUALITE avec des élèves à profil trop sensible. Je ne souhaite pas entrer dans une diatribe stérile. Là n’était pas mon propos. Il est certain qu’entre deux maux, il est souhaitable de choisir le moindre. Mais devons-nous cautionner cette politique de l’insuffisance ? C’est en acceptant qu’on laissera faire n’importe quoi sinon rien.
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