Aucun de leurs arguments sur la concurrence ne tient, étant donné qu’ils vont jusqu’à souhaiter permettre aux enseignes la « vente à perte » qui est contraire aux principes les plus élémentaires du libéralisme, puisqu’il s’agit d’une forme d’« antijeu » (comme on dit en football) permettant au plus fort de casser les reins du plus faible en pratiquant momentanément des tarifs sans rapport avec la réalité économique. Une fois le concurrent faible éliminé, le plus fort, s’étant assuré le contrôle du marché, peut y pratiquer les tarifs qui l’arrangent et qui sont rarement ceux que le consommateur préfère.
En vérité, le rapport Attali est seulement un plaidoyer pro-domo de la grande distribution et ne mérite que le mépris.
Quant à ses positions sur l’Environnement, en plein grenelle, il n’est même pas besoin d’en parler, elles sont consternantes.
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