La science ne s’y perd pas du tout, elle bosse et produit des résultats : les 800 pages du rapport du GIEC (il y a des résumés), qui sont assez concluantes sur les risques et les responsabilités.
Les connaissances d’il y a un siècle avaient même suffi à Arrhénius pour faire une estimation de l’effet d’un doublement du taux de CO2, assez bonne pour être dans la fourchette du GIEC. Une fois qu’on a saisi le principe de base, ça n’a rien de sorcier.
Alors, pourquoi tout ce cirque, les simulations sur ordinateur qui prennent des mois etc.. ?
Evidemment pour essayer de représenter le phénomène dans tous ses détails, afin de prévoir les évolutions régionales.
Mais aussi parce que la lutte contre les émissions de GES est tellement désagréable qu’il faut sortir l’artillerie lourde pour faire bouger les comportements et décider les politiques à faire quelque chose. S’il y avait une solution simple, comme dans le cas de l’ozone stratosphérique, il y aurait assez peu de controverses : on appliquerait la solution, ne serait-ce que par précaution, vu l’ampleur des risques, et on n’en parlerait plus.
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