Bertrand Cantat a été condamné pour coups ayant entrainé la mort sans intention de la donner , ce qui est différent d’un homicide volontaire ou encore d’un homicide volontaire et prémédité. Dans cette affaire de nombreux amalgames sont faits entre les différentes formes de violence. Evidemment une femme est morte dans cette bagarre, c’est tragique, et ce ne sont pas 5,10 ou 15 ans de prison qui changeront quelque chose. A l’affirmation 4 ans c’est peu je répondrai qu’avant de pouvoir affirmer cela, il faudrait en avoir fait l’expérience soi-même, derrière les barreaux, Contrairement à ce qui a été dit plus haut Cantat n’était pas du tout en cellule vip mais incarcéré comme un prisonnier lambda (à sa demande), voire avec un statut médiatique qui lui a plus apporté d’ennuis au sein de la prison (cf les conditions de son arrivée à Toulouse : pression d’autres prisonniers...). Sa libération me semble normale, la justice a tranché en fonction du degré de l’acte, même si ça semble incompréhensible pour beaucoup. La justice est là pour punir les coupables en fonction de lois établies au fil du temps et avec des subtilités qui nous échappent parfois. Cette loi s’est appliquée dans ce cas à Bertrand Cantat comme à n’importe qui ayant commis ces actes, avec un déchaiment médiatique énorme, ni plus ni moins.
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération