« Tout ce qui est gratuit n’a pas de valeur », voilà la conception de la culture de notre gouvernement. Quand on sait cela, on ne s’étonne pas que la « gardienne de musée » adopte une attitude si complaisante avec les lobbys.
On arrête pas de nous rabâcher qu’en achetant un disque, on achète pas l’objet et donc le droit d’en faire ce qu’on veut par la suite (rien ne m’empêche de prêter mon téléviseur ou ma voiture a qui je veux), mais, une licence d’utilisation dans le cadre familiale.
Ok, dans ce cas, je veux pouvoir prendre gratuitement chez n’importe quel disquaire les CD comprenant les pistes musicales de la collection de vinyles des années 1960-70 qui appartenaient à mon paternel et que faute de platine je ne peux écouter... Après tout, j’ai hérité de la jouissance de l’utilisation de la licence acquise par mon père il y a presque 40 ans. Ah, non, ça ne marche pas dans ce sens là... C’est con, hein. Pour une même marchandise, les règles changent selon le coté de la barrière...