Vous écrivez : ‘Le capital n’a alors plus aucune raison de consentir à un quelconque compromis : c’est la fin de la social-démocratie.’ Ceci m’a semblé être le point d’orgue de votre article, une espèce de constat d’impuissance. Jusque la je vous suis bien.
En revanche je ne vous suis plus pour le reste. Lorsque vous souhaitez une vrai politique de gauche, vous devenez un peu flou : l’objectif de plus de lits d’hôpitaux et d’abaisser l’âge de la retraite est certes louable mais un peu passe-partout. Comment définissez de façon plus générale ‘une vraie politique de gauche’ ?
De plus, si on reprend votre point d’orgue ‘la social démocratie n’a plus de prise sur le capital’, quelle prise aurait un socialisme avec ‘une vraie politique de gauche’ ? Et je ne crois pas, que la grève des cheminots soit un contre-exemple : les cheminots se trouvant par statut totalement isolés et protégés de toute influence du marché. Dans le même ordre d’idée : le capital a-t-il besoin de la démocratie ?
En somme : n’est ce pas foutu de toute façon ? Ce n’est pas le ps qui a perdu, c’est le socialisme tout court.
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