Paul Villach bonjour. Sur le fond, je ne vous donne pas tort, mais l’on peut dire aussi que la banque ne fait que son travail de banque. Vous écrivez : « »La Banque ne peut même pas se prévaloir d’être la solution cachée du paradoxe : c’est son prêt consenti qui enclenche cet état de dépendance puisqu’elle n’attend qu’une chose, être remboursée aux échéances fixées, et, si besoin est, par la contrainte. Or, sans solution cachée, un paradoxe devient une contradiction« »
Plutôt que de paradoxe, ne vaudrait-il pas parler d’anachronisme ? Nous vivons me semble-t-il une époque charnière marquée par de grands bouleversements sociétaux, toutes les valeurs anciennes sont déliquescentes, et les jeunes ont toujours heureusement, un besoin vital de se construire un avenir.
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