@ l’auteur :
Il n’en reste pas moins que vous posez indirectement une question trés intéressante (qui reste encore en suspend pour moi), pour dépasser le dogme idiot et délétere d’optimisation du PIB/habitant à tout prix, le dilemme se pose entre :
intégrer à l’économie les richesses non monétarisées (par exemple par la considération d’autres indicateurs, mais n’est-ce pas un contresens ?),
ou bien explicitement positionner l’économie au service du politique, comme outil partiel et limité d’appréciation ?
A suivre...