Excusez moi, mais je ne rejette aucune foi personnelle lorsque celle-ci se limite à la vie intime, mais le fait que les religions soient nécessairement une bonne chose pour les individus en général et devraient donc être socialement favorisées (du reste toutes ou bien laquelle ?), voire biologiquement définies comme privilégiées rapport à d’autres formes de spiritualité philosophiques non-religieuses, au point de faire des prêtres les médecins reconnus des âmes et les directeurs de conscience obligatoires des personnes. Je m’en prends donc plus aux religions collectives, comme machine politico-idéologiques de pouvoir, qu’à la foi religieuse personnelle dont je conteste qu’elle puisse être confondue avec n’importe quelle sagesse non religieuse, c’est à dire libérale. Ce que me semblait faire le texte rapportant l’étude prétendument scientifique en question.
On peut préférer pour soi telle ou telle religion cultuelle (reste à savoir laquelle) à la philosophie rationnelle et critique, mais on ne peut affirmer comme une vérité générale qu’elle est plus favorable à la santé psychique des individus, sauf à confondre les deux et c’est cette confusion que produit le terme vague de spiritualité qu’il me paraît nécessaire de critiquer au nom de la rigueur dont manque l’étude prétendument scientifique évoquée dès lors qu’elle repose sur cette confusion. Le rasoir philosophique
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération