Je pense qu’il faudrait deux justices, une justice pour les faits « privés » et une justice pour les faits « publics ». Car ne devient pas homme public qui veut : il bénéficie de complicités légales les électeurs, et illégales, tous ceux qui en auront profité dans une certaine impunité, avec bonne conscience, voire une impunité certaine, avec turpitude. Mais peut-on reprocher aux êtres humains la faiblesse de profiter de chaque faille d’un système qu’on ne pourra jamais rendre étanche à la morale. Cessons donc de vouloir croire à la cause unique des évènements.