Il y a au moins un point sur lequel on peut être d’accord avec l’auteur de ce papier mal écrit : les journalistes réagissent bien plus àfort à présent qu’ils sont eux-mêmes la cible des violences. Quand cela ne touchait que les habitants de la cité, les policiers, les pompiers, bah ! on relativisait beaucoup les choses. Aujourd’hui, le journaliste se fait un devoir de dénoncer cette violence inouïe.