Basebou
Soyez plus precis, duquenal a parlé de facisme et non pas de nazisme, ce n’est pas la même chose
Le nazisme pouvant etre reconnu comme une emmanation du facisme mais dont le but est non pas de defendre une nation mais une race
par contre vous avez raison, dans National Socialisme ( a l’origine né d’un parti ouvrier...), il y a bien le mot socialisme
pas seulement le nom d’ailleur, mais aussi le programmme !
citons :
Origine :
Le Parti ouvrier allemand de Bohême (1904) Le parti Parti ouvrier allemand de Bohême (très antérieur au DAP munichois) est quant à lui organiquement issu d’organisations socialistes et syndicales au sein de l’Empire autrichien : « Syndicats et partis se scindèrent en des formations tchèques et allemandes : en 1898, naquit un Parti national-socialiste ; en 1904, le Deutsche Arbeiterpartei (DAP) vit le jour à Trautenau, appuyé sur les syndicats allemands réunis en une Commission centrale des associations syndicales allemandes ; un tiers de celles-ci adhéraient au DAP. Ses membres étaient des employés de commerce, des ouvriers, des mineurs et des cheminots dont une partie avait auparavant soutenue les sociaux-démocrates. »[6]. En 1910, son chef, Walter Riehl, était venu du SPD[7]. Le DAP de Bohême se rebaptisera Deutsche nazionalsozialistische Arbeiterpartei (DNSAP) en 1918, soit avant même la fondation du DAP-NSDAP. Les deux partis entretiendront ensuite des liens. mouture " Les premiers nazis signalés comme issus de la mouvance socialiste sont :
Anton Drexler, fondateur du DAP. Selon l’historien François-Georges Dreyfus, « Il semble d’ailleurs qu’Anton Drexler ait appartenu au SPD avant 1914. " Hermann Esser, premier chef de la propagande du DAP et l’un des principaux premiers compagnons d’Hitler : « excellent orateur, il contribua largement au succès du NSDAP. » .
Il était à l’origine social-démocrate : « En 1919, il avait collaboré au journal social-démocrate « Allgauer Volkswart » à Kempten »[12]. Il sera sous-secrétaire au Tourisme du Reich (1939-1945).
Gottfried Feder, le mentor d’Hitler en matière d’économie était très anticapitaliste. Selon l’historien Ian Kershaw, Feder « avait adressé au mois de novembre précédent (NB : 1918) un exposé de ses idées au gouvernement socialiste dirigé par Kurt Eisner. » . En 1919, il avait écrit un manifeste contre l’eslavage du taux d’intérêt (« Brechung der Zinsknechtschaft »). Il demandait la nationalisation des banques et l’abolition de l’intérêt. En 1933, Hitler le nomme sous-secrétaire au ministère de l’Économie.
Si l’on s’en tient aux seules questions économiques et sociales, les analogies ou influences entre socialisme et national-socialisme peuvent être relevées :
à partir du programme du parti nazi de 1920 à travers l’existence de synthèses entre socialisme et nationalisme :
Près de la moitié des 25 points du programme sont consacrés à des questions économiques et sociales :
7 : Nous demandons que l’État s’engage à procurer à tous les citoyens des moyens d’existence. Si ce pays ne peut nourrir toute la population, les non citoyens devront être expulsés du Reich.
10 : Tous les citoyens doivent avoir des droits égaux et des devoirs égaux.
11 : Nous demandons la suppression du revenu des oisifs et de ceux qui ont la vie facile, la suppression de l’esclavage de l’intérêt.
12 : Considérant les énormes sacrifices de sang et d’argent que toute guerre exige du peuple, l’enrichissement personnel par la guerre doit être stigmatisé comme un crime contre le peuple. Nous demandons donc la confiscation de tous les bénéfices de guerre, sans exception.
13 : Nous demandons la nationalisation de toutes les entreprises appartenant aujourd’hui à des trusts.
14 : Nous demandons le partage des bénéfices des grandes entreprises.
15 : Nous demandons une augmentation substantielle des pensions des retraités.
16 : Nous demandons la création et la protection d’une classe moyenne saine, la remise immédiate des grands magasins à l’administration communale et leur location, à bas prix, aux petits commerçants. La priorité doit être accordée aux petits commerçants et industriels pour toutes les livraisons à l’État, aux Länder ou aux communes. 17 : Nous demandons une réforme agraire adaptée à nos besoins nationaux, la promulgation d’une loi permettant l’expropriation, sans indemnité, de terrains à des fins d’utilité publique, la suppression de l’imposition sur les terrains et l’arrêt de toute spéculation foncière. 18 : Nous demandons un combat sans merci contre dont les activités nuisent à l’intérêt commun. Les « coupables de crimes contre le peuple » (Volksverbrecher), les usuriers, les fraudeurs, etc. doivent être condamnés à mort sans qu’il soit tenu compte de leur confession ou de leur race. 20 : L’extension de notre infrastructure scolaire doit permettre à tous les Allemands bien doués et travailleurs l’accès à une éducation supérieure, et par là à des postes de direction. Les programmes de tous les établissements d’enseignement doivent être adaptés aux exigences de la vie pratique. L’esprit national doit être inculqué à l’école dès l’âge de raison (cours d’instruction civique). Nous demandons que l’État couvre les frais de l’instruction supérieure des enfants particulièrement doués de parents pauvres, quelle que soit la classe sociale ou la profession de ceux-ci.
21 : L’État doit se préoccuper d’améliorer la santé publique par la protection de la mère et de l’enfant, l’interdiction du travail de l’enfant, l’introduction de moyens propres à développer les aptitudes physiques par l’obligation légale de pratiquer le sport et la gymnastique, et par un puissant soutien à toutes les associations s’occupant de l’éducation physique de la jeunesse
Hitler proclamera ce programme « intangible » au congrès de Bamberg en 1926. Certains soulignent cependant leur proximités avec les programmes des partis socialistes Les synthèses nationalisme/socialisme antérieures en Allemagne Des synthèses entre socialisme et nationalisme sont apparues en Allemagne au sein du mouvement socialiste, avant l’apparition du DAP.
Au sein de la social-démocratie allemande s’étaient développés différents courants de pensée amenant à concevoir un rapprochement entre socialisme et nationalisme :
Un socialisme étatique autoritaire , collectiviste, nationalisation !
Mais ce n’est pas ce que l’on reproche les plus au national socialisme bien sur mais toute l’ideologie raciste et les moyens mis en oeuvre pour la promotion de la race superieure
Tout cela n’a rien a voir avec Chavez, Basebou et personne ici sauf vous ne fait ce type de parallele...
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