@ Halman
Je n’ai pas abordé le thème de la reproduction dans l’espace dans mon article car cette perspective me semblait encore trop éloignée. Néanmoins, je m’intérèsse souvent à cette question.
Il y a plusieurs années, j’avais lu dans je-ne-sais-plus quelle prospective spatiale qu’une anatomie de type méduse (un gros cerveau très actif et des membres très fins et flagellants) serait la plus adaptée à des séjours très très prolongés en gravité zéro.
Bien entendu, de telles perspectives demeurent encore très lointaines, vu la complexité humaine et technique liée à des missions spatiales aussi longues. Déjà que c’est galère pour se rendre sur la Lune ou sur Mars, au-delà n’en parlons même pas...La téméraire réalisation des missions Apollo doit beaucoup aux motivations de la guerre froide, course technologique contre la Russie oblige. Comme quoi et malheureusement, la guerre est très souvent source d’audace et d’innovation. Espérons qu’une concertation américano-russo-euro-sino-japonaise prendra le relais...et ne sera pas obnubilée par des questions financières et du protectionnisme techno.
Au fait, quelqu’un peut-il m’expliquer pourquoi les sondes Voyager, Pioneer et autres semblent freinées par une sorte de force électromagnétique aux frontières de notre système solaire ?
NB : j’ai une nette préférence pour mon anatomie bassement terrestre de 2007.
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