Rien de frauduleux à respecter la loi. Or justement dans cette histoire, je vois que tout a été respecté scrupuleusement : décision d’adoption par un tribunal (et ce n’est pas simple), inscription à l’état-civil français, délai de prévenance obligatoire de 5 ans selon le code civil pour les adoptés après 16 ans, etc... Donc je ne comprends pas ce qui a poussé la préfecture à agir de la sorte ? Un manque de discernement évident.
Cela démontre simplement qu’on ne s’attaque pas aux délinquants (marchands de sommeil, passeurs, mafia, employeurs indélicats, etc...) mais à tout ce qui passe pour amuser la vox populi.
Il nous faut donc des lois précises car l’administration n’a pas vocation à brutaliser les individus. Et qu’est-ce qui est le plus important en l’espèce la famille ou les quotas ? Personnellement je crois en la famille naturelle et adoptive.
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération