J’aime beaucoup cette formule « la perversité, c’est simple à reconnaître : ça met les gens équilibrés mal à l’aise et ça fait jubiler les autres ». Moi, je dis souvent, sur le plan individuel, que pour reconnaître un pervers, il faut se servir de la boussole du sentiment de culpabilité : un pervers ne se sent jamais coupable. Il peut se sentir furieux d’être confronté à un échec, mais coupable, jamais. En sachant cependant qu’ils peuvent très bien faire semblant... En revanche, je suis d’accord avec votre collègue : c’est à ce qu’on ressent, que l’on peut suspecter qu’il y a quelque chose qui ne va pas. C’est la déstabilisation que j’évoque dans l’article, qui se manifeste par une sorte de malaise, parfois le sentiment diffus qu’on n’a pas bien fait quelque chose.
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