En toute logique 8 ans de travaux forcés devraient être convertis en au moins 16 ans de prison simple.
Au bout du compte, peu importe. Cette affaire aura montré les limites à ne pas dépasser et donné une douche froide à tous ces bien-pensants qui jugent dans leur petit coin quel mode de vie doivent avoir les enfants du tiers-monde.
En libérant les second-couteaux et en condamnant les principaux acteurs à une peine raisonnable la justice tchadienne a montré sa maturité. Reste maintenant aux gouvernements africains à faire le tri entre les ONG. Aprés tout, c’est bien eux qui ont donné les autorisations nécessaires à l’intervention de ces ONG sur leur territoire.
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