J’ai lu ton livre (enfin, celui que je mentionne) et une ou deux plaquettes en sus, et j’ai été très très impressionné par exemple par ton article « l’esperanto, un joyau éducatif méconnu » que je distribue d’ailleurs volontiers autour de moi (tu me feras parvenir la facture pour tes droits d’auteur )
Ceci pour situer. Maintenant, oui, je l’admets, éprouver du plaisir est un avantage. (Argumenter est un autre plaisir, et je me le refuse peu ces temps-ci.) Mais, pour revenir à l’origine de ma mauvaise humeur, et sans vouloir relancer le carrousel pour un tour, mon expérience est qu’il est quasi-impossible, une fois qu’on a épuisé le plaisir linguistique pur de l’apprentissage, du jeu, et du bouleversement des conceptions que l’esperanto apporte, de passer à la vitesse de croisière et de simplement « utiliser des services » comme le simple consommateur passif que je souhaiterais être. Pourquoi, parce que beaucoup des services annoncés sont des boîtes vides. En conséquence de quoi, quand j’entends les trompettes de la propagande sonner un peu trop fort par rapport à la réalité que j’ai expérimentée, je réagis...
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