Le italiens ont élu (et réélu) Berlusconi, mis en cause dans une dizaine d’affaires de corruption, fraude fiscale, faux en bilan ou financement illicite de parti politique.
En fait, dès l’instant où il a gagné les élections, coupant la route à une gauche qui se voyait au pouvoir pour vingt-cinq ans faute d’opposants organisés, Berlusconi a été l’objet de l’attentive vigilance d’une partie - devinez laquelle ! - de la magistrature italienne.
Et ce sont quatre-vingt-quatre affaires pénales qui ont alors été instruites contre lui et/ou contre ses collaborateurs.
Aucune de ces affaires ne s’est traduite par une condamnation, alors qu’il était président du Conseil et aucune non plus, depuis qu’il n’occupe plus cette fonction.
On notera que si les Italiens étaient appelés aux urnes dans les semaines qui viennent, le Cavaliere serait triomphalement réélu, la gauche actuellement au pouvoir bénéficiant de la confiance de 17 % des Italiens, un record négatif de Guiness Book...
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