Pour aller plus loin, même, que diriez-vous si je vous disais croire que la gauche, si silencieuse, l’est peut-être parce qu’elle sait, pour avoir exercé le pourvoir récemment, que tout n’est pas possible ?
En gros, comment être dans l’opposition quand je peux me retrouver demain à exercer ce pouvoir et que l’on me reprochera, après-demain de n’avoir pas fait ce pourquoi l’on m’a élu ?
Car finalement, les seuls "crédibles" (et quand je dis "crédible", je ne dis pas que leur discours est vrai, je dis que l’on peut les croire au dessus de tout soupçon) dans les campagnes d’hier, d’aujourd’hui et vraisemblablement de demain sont ceux qui sont certains de ne pas être élus. Le rôle d’aiguillon leur appartient à eux, non ?
Mais je suis d’accord avec votre constat sur la critique (enfin, sur la façon d’exercer la critique).
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