Ekarine, par hasard (mais le hasard existe t-il vraiment ?) je tombe sur cet article alors que demain je dois rencontrer la psychiatre qui suit mon fils de 11 ans afin de discuter pour lui d’un traitement anti-dépresseur. Elle m’a plus ou moins convaincue (quand vous parliez des pressions subies par les mères comme je me suis reconnue...) de la nécessité d’un tel traitement arguant de son bien-être et qu’il ne fallait pas le laisser souffrir, qu’à son age cela pourrait avoir des conséquences sur le développement de son cerveau (il est suivi pour dépression, il a un QI élevé et une histoire "chargée") mais mon instinct me "hurle" de refuser mon consentement à cette chimie. Je ne sais que faire...
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