J’ai ricané méchamment en lisant, dans un bouquin de Pratchett, une enfant massacrant des mots qu’elle n’avait lu que dans un dictionnaire et qu’elle était donc incapable de prononcer (dans sa langue natale). Ça me rappelait tellement mes expériences d’auberges de jeunesse, quand j’essayais quatre prononciations différentes pour certains mots que j’avais lu cent fois avant de me faire comprendre, faute de les avoir entendus prononcés par un anglais.
Ou encore ce fou-rire quand ma promo a déclaré d’un parfait accord, moins le type qui se balade avec un roman en anglais différent toutes les semaines (ie ma pomme), que chacun jugeait son propre niveau en anglais très bon (je pensais qu’on était tous des sous-merdes, depuis j’ai rencontré des chercheurs et doctorants japonais, italiens, grecs, et j’en passe, mais je sais que nous étions juste des merdes tout court).
Aaaah entendre nos ministres s’exprimer en anglais, quelle joie ! Déjà que leur français est d’une pauvreté à faire chialer nos vieux tribuns...
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