Nous exportons nos meilleurs éléments quand ils sont en pleine santé. Ils alimentent les caisses de l’Etat britannique qui se réjouit par ailleurs d’exporter ses retraîtés au moment où ils commencent à leur coûter.
Ces riches seniors viennent profiter de nos bons soins et de nos prix bas, tout en faisant grimper l’immobilier pour les indigènes...
L’équation est valable jusqu’à un certain point. Que les marchés se contractent, que la City s’enrhume, que la bulle immobilière faiblisse, que la Couronne décide d’étudier la double taxation pour les milliardaires russes de passage, et l’eldorado londonien perdra de son charme so british.
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