Je n’ai pas beaucoup lu Balzac, à part le Père Goriot qu’on m’a imposé et que je n’ai pas aimé du tout à l’époque, mais je pense ne pas être trop dans le faux en disant que ce film a un petit côté "Balzac rencontre la Chine communiste".
C’est très réaliste, très cru, très...gris...comme cette Chine de derrière la façade lumineuse de Shanghai.
C’est effectivement triste et assez déprimant, mais c’est un beau film paradoxalement.
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