Frère Paul,
Des classes, par exemple, peuvent être privées de cours de maths deux fois sur trois du fait d’un professeur notable, couvert de mandats électifs comme un arbre de Noël : il prévient non pas quand il ne vient pas, mais quand il vient.
J’ai connu exactement le même qui était un bon ami et qui exerçait en classe prépa.
En fait, fort de votre expérience, votre article vous conduit à nouveau à émettre une critique violente de la hiérarchie qui dans votre description interdit la mise en place d’une véritable appréciation des enseignants.
Seulement, comment faire fonctionner n’importe quelle organisation sans hiérarchie ? Et comment évaluer sans évaluation ? Le vrai mérite doit être reconnu, donc être mesuré, c’est bien le cas dans de nombreux pays étrangers ?
Pourquoi cette contestation d’une hiérarchie nécessaire argumentée sur des faits isolés ? Ne me dites pas que tous les principaux et proviseurs sont des salopards. Dans toutes les couches de la société et à tous niveaux, vous retrouvez un pourcentage à peu près constant de couillons, l’EN n’y échappe pas .
Je pense que la résistance au changement est très importante dans l’EN.