Cela ne fait pas que rigoler Arthur Mage
Les brésiliens sont les premiers à denigrer la devise Brésilienne
Petit florilège : Desordem e caos - desordre et chaos
Desordem e regresso - regression
Desordem e puniçao - punition
desordem e retrocesso
etc
Si l’idée positiviste de la devise demeure, la réalité brésilienne est toute différente
o amor por princípio, a ordem por base, o progresso por fim
Nombreux sont les brésiliens qui pensent que l’amour pour principe, pour base et pour finalité est plus judicieux (surtout si c’est l’amour de l’argent)
Pour d’autres : ordem sem progresso ao progresso sem justiça Ordre sans progrès et progrès sans justice
pour le reste ce qu’ils vivent au quotidien c’est plutot la corruption généralisée, les infrastructures defaillantes (aeroports, routes, services publics de santé , ecoles)etc
quand vous demandez a un brésilien comment il va , il vous répond c’est la cata mais ça va
N’oublions pas que la devise française pourrait elle aussi faire l’objet d’une telle analyse sarcastique
Disons que les devises sont là pour indiquer l’ideal de leurs auteurs mais il y a un gouffre entre les voeux et la réalité.
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