Un bon journaliste pourrait apprendre à écouter et à entendre, à regarder et à voir, à sentir et à comprendre. C’est le fondement de la communication.
Il pourrait se garder de l’esprit "de" critique, celui du concierge "malveillant " instinctivement porté au bavardage, dont les propos sont entachés de gde subjectivité, de projections, c. à d. de dénonciations calomnieuses des tares, défauts et problèmes que l’on stigmatise chez les autres et dans le monde ambiant en oubliant que notre référence première est le contenu de la poubelle que l’on porte au fond de soi.
Cette confusion est du ressort de la psychiatrie et concerne plus de 50 % des humains dont le seuil de conscience se situe au commencement du monde, à l’âge de notre ancêtre le saurien. Prisonniers que nous sommes de notre ethnie, de notre éducation, de notre famille génétique, morale, religieuse, politique etc.
Un bon journaliste pourrait cultiver l’esprit critique, c. à d. l’esprit d’observation, de réflexion, d’investigation et d’information. Dans cet esprit de meilleure connaissance de soi il pourrait gagner en altitude, en maturité, en éthique, en courage politique. Tout le monde se sentirait tellement mieux.
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