Je n’ai pas encore lu tous les posts, mais on pourrait aussi envisager d’assortir l’adoption d’un enant mort de la shoa de celle d’un enfant de Gaza qui devrait mourir, comme ça on équilibrerait le débat : un mort pour un vivant dont on peut concrètement suivre l’agonie ; une haine défunte toujours combattue pour une haine vivante contre laquelle rien d’est fait.
C’est-y pas un suggestion vraiment pleine d’enseignements et tout ce qu’il y a de plus saine pour les têtes blondes ?
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