Rappellons à notre cher auteur que la réalité coloniale de la femme berbere parée ou non de ses lourdes parures se confinait exclusivement aux bordels et quartiers reservées.
Les bijoux dont vous parlez etaient bien souvent le produit d’un dur labeur financé par les soldes des petits français en mal de vulves.
par ailleurs les oulad nail ne sont pas berberes.
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