On ne destitue pas quelqu’un pour de mauvais sondages, sauf à transformer la vie politique française en une monotone machine à destituer. Pas vraiment drôle ce scénario, même si parfois on se prend à le regretter... Non, la seule option pour couper les ailes au "président", c’est que le parlement entre en rebellion ouverte et se mette à voter des motions de censure. Inimaginable sous la cinquième République, tant les assemblées sont dociles. Au lieu d’une machine à destituer, nous avons hérité d’une machine à faire des carpettes, ce qui n’est pas forcément mieux...
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