C’est amusant de découvrir ce qui a été entièrement analysé, décrypté et prévu dans "la société du spectacle" de guy debord, paru aux éditions buchet-chastel en 1967. et approfondi dans les quelques ouvrages qui ont suivis, sans parler des films.
"in girum imus nocte et consumimur igni" dit tout.
pas une virgule de ces ouvrages ne peut aujourd’hui être critiquée. pas une seule de ses analyses qui puisse être remise en cause. il avait tout vu, tout prévu. voilà de quoi déplaire à ses contemporains.
mais on peut toujours ratiociner, ça occupe en attendant le 20 heures jusqu’à la fin de sa vie méprisable, et à juste titre méprisée.
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