Vous auriez aussi pu parler des entreprises du CAC 40 dont le bénéfice n’a jamais été aussi élevé (99 millards, +3% vs 2006), dont une : arcelor-mittar dont on connait l’actualité délocalistrice - et les promesses présidentielles de conservation de l’activité du site... sur les deniers de l’état... qui ne resteront de fait que des promesses (et quand bien même on peut s’interroger sur la viabilité financière d’une telle démarche).
Les quelques dizaines de millions dépensées pour les textes votés à la volée sous le prétexte de réforme ne sont rien comparés à la contreproductivité qu’ils imposent qui elle se chiffre maintenant en milliards, et je ne parle pas du paquet fiscal...
Aussi est-il utile de rappeler que c’est juste derrière les élections présidentielles que le gros des textes les plus onéreux sont tombés, suscitant la surprise et la perplexité des économistes européens, il aura fallu les municipales pour faire baisser légèrement la pression sur les députés - de la majorité - dont on sait aujourd’hui que l’hyperactivité imposée par la présidence ne leur a pas permis de légiférer en toutes connaissances de cause. Est-ce à dire que la tourmente politico-organisationnelle déficitaire est pour l’après municipales ?
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