L’immigration, l’excès de lumière masque les zones d’ombre.
L’immigration profite avant tout au Grand capital (le capital de la Dette publique). Le grand capital qui se régale de la misère qu’il produit.
Il y a « enfants sans papiers » et « enfants sans papiers »
Ceux que l’on gagne à en parler et ceux que l’on gagne à oublier.
Dans les deux cas, c’est du profit pour la Finance fasciste. Le grand capital, le capital de la Dette publique (5 fois le budget net de l’État), le capital de la Dette publique contrôlé par les curés.
La niche à chien fait de la résistance. (Page 220)
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