Je reprends la dernière phrase de l’article : « Une question importante et primordiale reste cependant posée en Afrique et dont la solution ne dépend que de la seule volonté de ses dirigeants, c’est la nécessité absolue et vitale de limiter les naissances, et ce, en utilisant tous les moyens nécessaires et adéquats, sans quoi le problème de l’émigration des Africains vers l’Europe restera toujours posé. »
Cette natalité très forte des Africains, comparée à la natalité insuffisante des Européens, est un des facteurs qui favorisent les flux d’immigration massifs depuis l’Afrique vers l’Europe.
L’article « Démographie et immigration : suicide collectif des Européens », publié sur AgoraVox, explique quels sont les responsabilités dans cet état des choses.
Voici quelques extraits de cet article très bien documenté qui a été publié sur AgoraVox :
« Les aides massives que les Européens fournissent à l’Afrique sont destinées à nourrir, abriter, instruire et donner des soins de santé aux Africains. Le résultat de toutes ces aides est que la population africaine se multiplie à une vitesse jamais et nulle part ailleurs constatée dans l’histoire de l’humanité. Le soutien financier massif destiné à l’Afrique inclut l’aide humanitaire et les prêts qu’obtiennent les États africains, mais que les gouvernements des États européens finissent par rembourser sur décisions de ceux qui sont au pouvoir en Europe (en vérité : les contribuables européens remboursent). Le fait que ce soutien financier massif, qui est en augmentation constante depuis des décennies, ne parvient pas à réduire la pauvreté sur le contiennent africain, permet de poser la question : les Africains sont-ils capables de se prendre en charge ? Le résultat factuel de ces aides est que la population africaine, dont la masse croit de façon incontrôlée, augmente sans cesse la pression des flux d’immigration depuis l’Afrique vers l’Europe.
Certaines études font penser que la fécondité d’une population baisse lorsque les conditions économiques s’améliorent. Cependant aucune croissance économique n’est capable de suivre la croissance explosive de la population en Afrique. L’écart entre l’augmentation de la population africaine et la croissance économique africaine qui n’arrive pas à suivre, est la raison principale de l’augmentation permanente de la pauvreté des Africains. Désormais, la pauvreté des Africains a comme cause principale la fécondité non maîtrisée de la population. La fécondité en Afrique ne pourra donc baisser que s’il y a intervention autoritaire des pouvoirs publics en suivant l’exemple de ce qui a été fait en Chine. Rien ne permet de présager en Afrique cette intervention autoritaire des pouvoirs publics.
Certains diront que les Africains ont le droit, s’ils le souhaitent, de se multiplier autant qu’ils le veulent. Sur les territoires qui sont sous leur gestion ils ont le droit d’organiser leur société comme il leur plait. Les Africains ont le droit de se multiplier autant qu’ils le souhaitent. C’est certain. Mais alors ils doivent assumer les conséquences de leur choix, ils ne doivent pas demander aux autres branches de l’humanité de financer les moyens nécessaires à la survie de la masse croissante des Africains, ils ne doivent pas chercher à déverser leur trop plein de population sur l’Europe.
En France il est mal vu de parler publiquement de ces faits sous peine d’être soupçonné de racisme et d’être menacé de perdre son emploi. Le racisme c’est l’appel à la haine contre certaines races. Ce n’est pas de la haine que de dénoncer ce qui ne va pas bien dans une région du monde ou dans un groupe humain. Il faut pouvoir dire la vérité sur les comportements irresponsables des Africains. Les aides déversées sur l’Afrique devraient être prioritairement, et même exclusivement, orientées vers ce but de la baisse forte et rapide du taux de fécondité des Africains. C’est la seule solution pour à la fois sortir l’Afrique de sa pauvreté et réduire les pressions migratoires orientées sur l’Europe. »
« La population européenne autochtone évolue vers la disparition à cause de la faible natalité : entre 1,3 et 1,4 enfant par femme. »
« La baisse du taux de natalité des Européens autochtones n’est pas terminée : en 2000 le taux était de 1,6 enfants par femme européenne, et en 2006 il est tombé à 1,4 enfant par femme dans l’ensemble du continent européen, mais dans certain pays il est déjà à 1,2 enfant par femme. »
« La démographie déclinante des Européens autochtones ne doit pas être le résultat massif des choix politiques et sociaux nuisibles imposés à la population : les conditions d’existence adaptées à une vie familiale ne sont pas la priorité des politiques européens au pouvoir, à l’exception de quelques initiatives fortes, comme par exemple le revenu parental récemment instauré en Allemagne par Angela Merkel. »
« D’après les projections démographiques, si les tendances actuelles sont maintenues (faible natalité des Européens autochtones, forte immigration en provenance d’autres continents) la population sur le continent européen sera en 2100 composée d’un tiers d’habitants d’origine européenne (les Européens autochtones) et de deux tiers d’habitants d’origine non-européenne. En 2100 il y aura sur le continent européen 170 millions d’Européens autochtones dans une population de 520 millions d’habitants au total. »
Ce ne sont que quelques citations. Vous pouvez lire d’avantage dans l’article « Démographie et immigration : suicide collectif des Européens » qui a été publié sur AgoraVox.
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