Madame Sebire est morte, on peut enterrer le débat.
Mais, tout ceci ne serait pas arrivé si la confiance en la médecine n’était pas sévèrement mise en doute. En effet, le médecin de famille, ( qui d’ailleurs dans les grandes familles, était lui même membre ), se chargeait de tout, de l’avortement jusqu’à l’accompagnement vers la mort en toute discrétion et discussion interne à la famille. Celle-çi étant sévèrement déstructurée, divisée, la société s’éclatant de plus en plus loin sur l’échelle mondiale, on a de moins en moins d’acteurs essentiels qu’étaient les médecins et les curés. Depuis la mort de ces valeurs sociales, et devant la diversification des alternatives " religieuses " et spécialités médicales croissantes, les dérives s’accumulent et la loi elle-même favorise cet état de chose.
La pratique de l’avortement sans limites montre une plus grande tendance vers la répression où la simple prévention aurait pu suffire. La demande de loi sur l’euthanasie démontre encore le choix de la répression chére à nos institutions.
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