Au fond (si on peut parler ainsi), la technique est peu différente de celle du Monde : que celui qui réclame son droit soit "psychorigide", "qui a un problème avec l’alcool" ou "caractériel", nous restons dans la transformation morbide d’un désir de justice en un acharnement "procédurier", mot fourre-tout qui permet à un journaliste d’émettre un diagnostic sans risquer un retour de bâton.
J’espère que ledit prof aura eu à coeur de demander un droit de réponse à ce journaliste qui, une fois encore, remet en cause l’autorité de la chose jugée, juste pour le plaisir d’écrire dans le sens du courant, sans se soucier de savoir comment fonctionne une "noble institution" au-dessus de tout soupçon, surtout quand rien ne filtre de la maison.
Il est très difficile de sortir indemne d’une affaire de ce genre, car dans l’opinion, c’est le vieil adage "il n’y a pas de fumée sans feu" qui prévaudra toujours et qui continuera à faire des ravages, parfois longtemps après les faits.
Messieurs les censeurs, vous gagnerez toujours, mais parfois, vous vous couvrirez de ridicule.
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