La force de l’internet, son existence même repose sur le lien.
Si je peux connaitre votre blog, c’est parceque j’ai pu cliquer un jour sur votre pseudo au bas d’un commentaire qui me permettait de découvrir votre prose. Ou sur le lien qu’un internaute aura choisit de glisser parmi ses favoris sur son site.
C’est à cet aspect fondamental du web que la Justice patiemment s’attaque. Mais bien des journeaux qui ouvraient leurs articles aux commentaires de leurs lecteurs ont pris les devants en supprimant le lien qui conduisait au site de ces auteurs amateurs.
La censure par l’étouffement, tel est le but.