a) Le doute méthodique frappe ce qui est inconsistant ou inconstant. Or le compte-rendu d’un événement, que ce compte-rendu soit manipulé ou non, ne se présente jamais comme une évidence. Le doute méthodique demeure donc bien une méthode philosophique et non journalistique.
b) Le doute hyperbolique consiste a faire comme si il n’ y avait rien de réel ou de vrai. Ce doute bute alors, l’espace d’un instant, sur la pensée confuse du fait même d’exister.
c) L’usage dément du principe du doute consiste, quant à lui, à substituer aux catégories du monde commun, la confusion de l’expérience du cogito où vérité et illusion sont indiscernables.
Il en résulte le "monde" postmoderne de Marion Cotillard : un "monde" où l’événement n’a pas de consistance, de vérité en soi mais demeure l’expression, le signe d’autre chose. Ainsi le terrorisme devient-il le symptôme du capitalisme qui se retourne contre lui-même. Mais est-ce là sans doute une ruse du capitalisme ; derrière le masque, un autre masque, etc. Vertige du nihilisme...
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