Vous dites vous-même que la justice doit s’adpater à chaque cas, tous différents, tous difficile à traiter. J’ai appris que Mme Debaine a en effet reconnu avoir tué sa fille handicapée, mais qui souffrait atrocement. Tout le monde s’est accordé à dire que rien ne pouvait être fait pour arranger son cas, que les souffrances continueraient, et que la fille mourrait tôt ou tard dans d’atroces souffrances. Ce n’est pas pour moi un meutre mais un acte d’amour de la mère envers sa fille, incapable de se libérer elle-même.
De là à parler de peine de mort autorisée, de dérive dangereuse, je pense qu’on part vers le mélodrame...
Bien à vous
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