Excellent article. Les sites pédopornos étant criminels, les leurres de la police ne peuvent délivrer d’images pédopornos : dès lors il leur est impossible de prouver la ’consommation’ d’images pédopornos, puisque d’une part il n’y a pas de délivrance d’images, d’autre part l’arrivée par un internaute sur un leurre a pu avoir d’autres causes que la recherche d’un site illégal.
La seule chose qui pèse sur l’internaute c’est une présomption de culpabilité. Si la loi américaine autorise les arrestations et les perquisitions sur cette seule présomption c’est que ce pays a institutionnalisé le principe que "la fin justifie les moyens". Cela est contraire à nos valeurs.
Post scriptum : au confessionnal on incitait les enfants à confesser leurs mauvaises pensées, je ne sais si c’est toujours le cas. Quelles qu’aient pu être les motivations des prêtres qui recueillaient ces ’confidences’, ces motivations sont contraires aux valeurs des lumières.
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