Bonjour Bernard Dugué. Vous dites : ""Le choc qui arrive, c’est celui d’une " croissance qui n’est pas démocratique ". … Diverses raisons, mais essentiellement, la structure de répartition des revenus, de production des profit et d’autre part, la technologie galopante qui impose ses innovations et qui pour se vendre, nécessite une croissance non démocratique.""
Ces deux raisons que vous évoquez sont pour moi la poule et l’œuf. En effet, l’inégalité des revenus est un puissant moteur de croissance : les riches achètent cher tout ce qui est nouveau, les prix baissent, les pauvres achètent à leur tour, et ainsi de suite. Mais cela devient fatal quand la machine s’emballe.
Parmi les trois évolutions envisagées, je crois que la deuxième est la plus vraisemblable, et que les classes privilégiées l’ont anticipé depuis longtemps pour se prémunir contre les insurrections. C’est une course contre la montre qui se joue entre les peuples et les "maîtres du monde".
M. Tatcher disait "there is no alternative", Jean Zin dans son article "Il n’y a pas d’alternative" reprend à son compte cette formule mais dans un tout autre sens. Si les peuples peuvent être asservis, la nature a son mot à dire.
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