Eh oui ! Et malheureusement, tout le reste de la communication politique en campagne est à l’unisson : démagogie, populisme, marketing sont devenus les principaux vecteurs de la réussite électorale. Le pire est que ça fonctionne. Plus le candidat allie des talents de bonimenteur à une communication qui sait flatter les instincts de la population plutôt que sa raison, plus il a de chances d’être élu. C’est ce qui s’est passé avec Berlusconi, pourtant resté sur deux échecs majeurs et lesté de multiples casseroles judiciaires. C’est, à un degré à peine moindre, ce qui s’est également passé avec Sarkozy, héritier d’un pouvoir déliquescent mais prodigue en rodomontades flatteuses. Hélas pour la démocratie !
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération