A ce moment tombent les différences, le voile se déchire, on en vient à prendre sa défense, on crée des comités de quartier et on crie haut et fort qu’il est inadmissible de le renvoyer dans son pays.
Je vous entends bien M. Danielli, vous avez vos raisons et vous les estimez supérieures, puisqu’elles dégoulinent de bons sentiments bien poisseux, qui collent aux doigts et aux dents, mais alors je vous pose une question :
--- De quel droit prétendez-vous imposer la présence de vos protégés à des indigènes qui ne veulent pas de ça dans leur environnement ?
Parce que c’est là que se situe le vrai problème ! Vous n’êtes que copropriétaire du pays dans lequel vous vivez !
Vous pouvez recevoir qui vous voulez dans votre cuisine, dans votre salon et même dans votre plumard, mais que cela vous plaise ou non, le jardin, la cage d’escalier et l’ascenseur appartiennent à la copropriété.
Vous n’avez donc aucun droit d’en disposer à votre guise, au détriment de ceux de vos compatriotes qui ne souhaitent pas plus côtoyer vos invités, que de partager avec eux l’air qu’ils respirent.
Alors, je réitère ma question, M. Danielli : De quel droit ?
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