Le constat est bien fait ; mais les solutions restent des voeux pieux : comment croire que par un coup de baguette magique les "grands" de ce monde prennent et appliquent les bonnes décisions ? C’est ignorer que la société forme un tout ,un ensemble qui ne se modifie pas par décret et par le haut . Les famines et les désordres écologiques sont les effets (effectivement prévus et décrits depuis longtemps par des gens clairvoyants) d’un système .
La bonne question est donc : comment changer ce système ? Comment s’organiser et penser AUTREMENT ?
La réponse est dans la question : se poser la bonne question c’est (se donner une chance de)trouver la réponse .
Deuxième question : quelle est dans notre organisation politique et démocratique l’entité permettant de se poser cette question globale , systémique ?
Réponse : il n’y en a pas .
Conclusion : la première marche est la création d’un outil démocratique (participatif) de recherche développement de l’alternative .Outil de réflexion globale déployé à tous les échelons territorriaux , destiné à anticiper et mettre en oeuvre grâce à des actions expérimentales de nouvelles organisations sociétales relocalisées.
Il faudra de toute manière une révolution ; mieux vaut l’assumer en amont si on en est capable.
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