L’histoire aurait pu être celle que vous évoquez : « splendeur et misère des icones ». L’ingrat public se lasse, enterre de nuit ce qu’il a adoré.
La vérité, celle que tout le monde a pu voir et entendre comme moi, est que l’affaire a tourné au fiasco.
Non, Ingrid n’est pas malade. Non elle n’a pas attrapé la chtouille, le choléra, la peste.Ah bon ?... elle s’est fait soigner son rhume à L’höpital ?... et elle n’a pas tenté de se faire repérer ?... Ah bon ?... elle y est resté huit jours ?...
Oui son mari (l’ex-mari, le nouveau étant remarquablement discret), l’ex-mari donc, a cru bon de forcer la main d’Urribe afin de laisser une zone franche pour le commerce de la coke. Fanfares internationales. Aidé par les trémolos Sarko (Marulanda, si Ingrid meurt, vous en serez responsable !...) on a plongé en plein délire et sombré dans le ridicule de « l’avion de l’ultime négociation... ».Jusqu’à se faire traiter d’« ingénu » par le traficant.
Mon avis ?...Un petit syndrome de Stokholm ne me parait pas exclu. Payé en narcodollars.
Finalement, il valait mieux laisser tomber.
Mais j’ai sans doute tort.
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