A force de donner aux pauvres et rien aux riches, les riches s’appauvrissent sans recevoir d’aide parce qu’ils ont de gros revenus, et les pauvres s’enrichissent toujours plus parce que les aides ne sont pas comptées dans leurs revenus. Dans la mesure où la natalité est un enjeu national, tant mieuxsi l’on aide aussi les riches qui, parce qu’ils choississent d’avoir des enfants, y consacrent aussi une partie de leurs revenus.
En revanche, c’est surtout lorsque les enfants commencent vraiment à coûter cher, à l’approche des études, que les allocs devraient être plus élevées.
Cordialement,
Capreolus