Le mérite de votre excellent article est d’être solidement argumenté.
Cet homme dont le seul talent fut de servir la soupe aux hommes influents de sont temps était un arriviste, un opportuniste prêt à tout pour exister. Du grand écrivain Emmanuel Berl à Nicolas Sarkozy, en passant par Mitterrand, Sevran fit allégeance à ceux desquels il espérait la charité.
Petit valet, il déroula son plan de carrière : rester sous les feux de la rampe à n’importe quel prix même en donnant dans la bêtise et le racisme "la bite des noirs...". On parla de lui, il continuait à exister fût-ce par le scandale et l’ignominie. Ce fut son but premier duquel jamais il ne s’écarta.
Je ne sais quelles étaient ses lectures préférées, mais à supposer qu’il fut homme de goût c’est certainement le FAUST de Goethe qui emporta sa conviction et devint son livre de chevet.
Mais l’histoire finit toujours mal et la mort a toujours le dernier mot y compris sur le pacte maléfice signé avec le représentant des puissances obscures.
Je ne sais plus qui disait que si le néant nous est réservé, ne faisons pas que ce soit justice.
S’il vous réservé, P. Sevran, ce ne serait que justice.
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