En tant qu’ancien de la profession (près de 40 ans) je puis vous affirmer que dans celle-ci, rares étaient - et doivent toujours être - les journalistes courageux et pugnaces qui, leur vocation vissée au coeur de leurs entrailles, allaient jusqu’au bout de leurs investigations, dans l’impartialité la plus totale. Rares, aussi et surtout, étaient leurs directeurs ou rédacteurs en chefs qui, reconnaissant leur talent, les encourageaient.
L’auto-censure existait déjà au sein de cette profession et à regarder de plus près aujourd’hui la presse, il est stupéfiant de constater que cette peur d’avancer vers la vérité par crainte de subir sanctions ou reproches, s’est installée un partout, telle une pieuvre.
Le fait que dans la plupart des cas, la presse écrite comme audiovisuelle, soit devenue la propriété de financiers de haut-vol, explique - en partie - un tel gâchis. En outre, il vous faut savoir en ce qui concerne l’AFP que j’ai servie pendant 14 ans et qui était incontournable dans "la confirmation d’une nouvelle", avait et a toujours ... l’Etat comme principal client.
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